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« Arrête de gigoter sur ton siège ! » Nous avons tous entendu cette phrase lorsque nous étions enfants. Cette remontrance s’est profondément enracinée en nous et nous avons bien du mal à nous en libérer. Mais si les découvertes du Dr Dieter Breithecker, expert du mouvement et ergonome, étaient mieux connues, nous n’aurions peut-être pas entendu cette réprimande aussi souvent. Retenez les leçons que nous donnent les enfants ! Ils nous encouragent à nous méfier des idées reçues qui font mal au dos!
« La façon naturelle qu’ont les enfants de bouger, de sauter dans les flaques, de tripoter la terre, de grimper aux arbres ou de se trémousser dans les fauteuils a toujours un sens, qui est d’organiser le schéma qualitatif de leur développement corporel. Ainsi, la façon naturelle de s’asseoir d’un enfant devrait inspirer nos efforts pour structurer les conditions d’assise physiologique. Les adultes interprètent continuellement à tort le langage corporel des enfants » considère le docteur Dieter Breithecker, directeur de l’institut fédéral allemand pour le développement du mouvement et de la posture à Wiesbaden (Bundesarbeitsgemeinschaft für Haltungs- und Bewegungsförderung e V).
« En fait, ce n’est qu’une question d’agitation tout à fait saine. Le mouvement est une nécessité absolue pour le développement harmonieux du corps et de l’esprit. Les adultes peuvent et doivent retenir cette leçon. Les personnes dont le travail est sédentaire alternent tension et relaxation de façon rythmique et régulière. C’est exactement ce que font les enfants lorsqu’ils gigotent dans leur fauteuil. Les activités corporelles naturelles sont cruciales pour améliorer le bien-être et augmenter la productivité.
Le docteur Dieter Breithecker a mené des recherches très poussées sur la manière de s’asseoir, la santé et le bien-être. Il s’inquiète de ce que certains ergonomes pensent encore en termes anthropométriques, c’est à dire qu’ils définissent les relations entre la hauteur de l’assise, sa profondeur et la hauteur du dossier pour qu’elles correspondent à une sorte de dimension corporelle moyenne. Puis ils produisent des données à utiliser dans les fabriques de fauteuils.
« Les êtres humains ne sont pas des unités mesurables rigides et ne peuvent être simplement standardisés. C’est pourquoi absolument personne n’entre dans les fauteuils standardisés. Je considère l’être humain selon une vision holistique, mon approche est anthropologique. Nous avons besoin de solutions « ergodynamiques », de sièges adaptés à la nécessité de mouvement d’une personne et non l’inverse.
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Lotta Jonson
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